Qu'est qu'on en a à branler de ma vie franchement je vous demande d'étaler la votre qui va me faire chier correct ? Si vous voulez savoir un truc à mon sujet, va falloir poser quelques billets sur la table entre vous et moi. Ah c’est comme ça, pas de blabla pas de validation ? Je vais le faire parce que je tiens à vous montrer l’étendu des dégâts que vous vous octroyiez en me tenant tête, le flingue à ma ceinture me démange déjà, j’imagine la jolie balle qui traversera votre tête pour retapisser le mur derrière vous, et le mégot de cigarette qui rejoindra votre bouche grande ouverte. Bien, allons y…

On s’en balance de ma vie avant et pendant apocalypse, j’ai fais comme vous, j’ai survécu au grès de mes moyens et de mon petit gang qui s’est gentiment formé au grès de ses sept années et plus encore, car déjà avant je comptais une poignée d’homme à ma portée pour étoffer mon petit business. J’ai plus de famille, je viens tout droit d’un pays où un homme à su faire régner la terreur, le chao, rongeant le globe progressivement comme cette saloperie qui a fait se redresser quelques morts sur votre passage. New York a reprit le cours de sa vie, moi également, mon petit trafique à vu à nouveau le jour, il ne faut pas avoir fait scientifique pour savoir fabriquer de la met’, mais du génie pour en élaborer de la qualité qui rongera votre cerveau et vous rendra tellement dépend que mes poches s’en retrouvent très vite comblé de biftons, sans que les autorités n’ai un nom pour pouvoir remonter le fil d’une échelle de petits dealers en petits dealers, uniquement car leur vie ne tient qu’à cette unique ficelle que je me complairais à couper pour voir leurs jolies têtes quitter leurs troncs. Hormis ça, les femmes sont mon passe temps, mais attention qu’elles s’attendent pas à un diner aux chandelles ou autre saloperies pour faire briller leurs mirettes, on passe direct aux choses sérieux, après tout, elles sont là pour ça. Certaines sont mes filles, de grès… ou de force… vendant leurs charmes pour remplir toujours mes petites poches qui bientôt débordent et me permettent d’ouvrir un petit coffre. Tout ce business est caché en souterrain, on me connait comme maitre des lieux du Pink Paradises, un endroit où les hommes peuvent venir glisser leurs billets aux endroits sous les ficelles de mes adorables pantins dansant contre des barres, frôlant des lèvres leurs entrejambes pour les inviter à plus de consommation, sans aucune légalité, et surtout… par un secret bien gardé. Fin stratège, je leur accorde parfois des crédits, à combler avec des intérêts majestueux, et je n’ai aucunement le besoin de vous dire ce qui arrive à leur famille, puis à eux si je ne récupère pas mes billes au plus vite.